Quelques éclaircissement sur les ALD
Les Affection Longue Durée sont caractérisées par le fait qu’elles nécessitent un
traitement prolongé et généralement onéreux. En 2015, plus de 10 millions de personnes bénéficiaient du régime des ALD, cela représente près de
60% des dépenses total remboursé par l’assurance maladie.
Ces maladies sont au nombre de
30 et son répertoriées sur une liste conçue par l’Assurance Maladie Française. Parmi les plus fréquentes, on retrouve les affections cardiovasculaires, les tumeurs malignes et les diabètes (Type 1 et 2).
La forte croissance de l’apparition des ALD ces dernières années s’expliquent par
plusieurs facteurs, l’augmentation du nombre de personnes diabétiques ou atteintes de tumeurs malignes, l’allongement de la durée de vie et les modifications réglementaires.
S’assurer en étant atteint d’ALD
Les organismes de crédit considèrent généralement les affections longue durée comme un
« risque aggravé » au moment d’une demande d’assurance emprunteur. Cela entraine, si il n’y pas de refus, de fortes surprimes et des exclusions de garantie.
refus assurance pret immobilier maladie Malgré le fait que cette assurance ne soit pas obligatoire, elle est généralement requise par les établissements de crédit pour l’obtention d’un prêt. La santé du souscripteur étant un
élément clé, la demande d’assurance bloque souvent au niveau du questionnaire médical.
Ou s’assurer avec une affection longue durée
Les ALD étant reconnu comme des « risques aggravé » ne sont pas acceptés dans les contrats de groupe que propose les établissement de crédits. Ils regroupent des clients présentant les
mêmes risques, ce qui ne convient pas pour les personnes atteintes d’ALD.
Il faut s’intéresser dans ce cas au délégation d’assurance proposer par les assureurs, généralement sur Internet. La délégation permet de comparer et de trouver des assurances plus compétitivités, d’environ
40% comparer aux banques, avec plus de garantie et personnalisé en fonction des besoins.
Il s’agit ensuite de trouver l’assurance emprunteur qui correspond le plus aux attentes du demandeur.
La solution AERAS en cas de refus
Dans le cas ou aucune entente n’est trouvé entre le demandeur et l’assureur, le dossier sera étudié par différents niveau pour essayer de trouver un accord.
Si il n’y a pas de consentement de la part des deux parties, la personne atteinte de maladie dite de « risque aggravé » peut saisir la commission de médiation
AERAS pour en trouver
une solution amiable.